sensiblement…
se particules, se corps ondulatoire.
Se dissémine sous nos yeux
pour nous offrir en boomerang,
du fond de nos êtres,
nos soi voilés, si social,
si so ciel.
Le chant ambigu d’un corps pendu
entre la perception et l’expression du bleu de vos yeux.
Un corps en tentative d’émancipation,
qui par glissement successif,
limite après limite
tend vers un lieu, un avoir lieu,
un en dehors de la représentation,
où simplement être
où nos yeux ankylosés se ferment,
nous laissant assis
sur le geyser du désir d’être
avec.